备注:已完结
类型:电影
主演:休·劳瑞
导演:未知
语言:英语
年代:未知
简介: 在本片中,《豪斯医生》主演休•劳瑞将脱下白大褂,换上村夫装。带领您一同前往美国新奥尔良,领略这座城市的魅力,聆听最原汁原味的蓝调音乐。他边弹边唱(你没听错,房子叔私下是位灰常有前途的蓝调歌手),将蓝调历史上的趣事信手捏来,抒发对这座城市和蓝调音乐由来已久的仰慕之情。可以说《休•劳瑞的蓝调之旅》不但是一部很好的蓝调知识启蒙素材,也是一场蓝调音乐盛宴演员奖项 片中休•劳瑞的新奥尔良试听会现场为2012年首次公开,之前只有少部分音乐评论人/记者有幸一睹。试听会曲目收于专辑《Let Them Talk(风言风语)》中,此专辑于2011年发行,旋即占据蓝调排行榜第一名,在流行榜上也有不俗表现,可以算是一张成功的专辑。专业评论界总的说赞扬声居多,但也有人质疑其唱功(vocalability)和感染力(delivery)。但不管怎么说,休•劳瑞是一位真正的音乐家、爱乐者,而绝不是哗众取宠之流。
备注:已完结
类型:电影
主演:哈维·米尔克
导演:罗伯·爱泼斯坦
语言:英语
年代:未知
简介: 一部关于曾被美国时代杂志选为20世纪代表人物之一的同性恋政治家Harvey Milk的记录片网络剧 Harvey Milk是首个以公开同性恋者身份者角逐成功为美国旧金山市重要官员,生前致力争取同性恋者的公民权益。他被暗杀前,很有希望当选为卡斯特罗(旧金山最著名的同性恋街区)的市长。70年代间,当他推动通过旧金山市首个同性恋者的公民权益条例之际,Harvey Milk与他的政冶盟友George Moscone于1978年11月28日被保守派前旧金山市前警察官Dan White刺杀而死,事件唤醒了当地同性恋者,使他们对争取自身权益作出了强烈的反省和回应。 1985年奥斯卡最佳长记录片
备注:已完结
类型:电影
导演:马丁·斯科塞斯
语言:英语
年代:未知
简介: 大导演马丁·西科塞斯在制作鲍勃·迪伦、滚石乐队的纪录片之后,他将目光转向了乔治·哈里逊,这位一直被约翰·列侬光芒掩盖的披头士的吉他手。本片片长达3个半小时,采访了Eric Clapton、特里·吉列姆、Eric Idle, George Martin, 保罗·麦卡特尼, 小野洋子、林格·斯塔尔等诸多牛人,挖掘了哈里逊的人生与职业生涯,包括后来单飞,做电影制片、搞慈善等等在线观看
备注:已完结
类型:爱情片
主演:金城武 周迅 张学友 池珍熙 曾志伟 吴君如 薛之谦 尚铁龙 陈铜民
语言:汉语普通话,粤语,英
年代:未知
简介:想演戏的孙纳(周迅 饰)与想导戏的林见东(金城武 饰)初遇见时,两人都正处于生活与事业的低谷,在相互鼓励和扶携中,他们渐渐有了共同的可以看见希望的未来,然而孙纳更想把现在的可能抓到手,狠心与林见东分了手,跟了可以给她戏的导演聂文(张学友 饰),成为人人艳羡的大明星。 天意弄人,十年后孙纳与也做了演员的林见东因为一部合拍戏又重遇。虽努力说服自己忘记过去,却欺骗不了自己的心,孙纳陷入两难中。而更戏剧的是,孙纳、林见东和聂文要同演一出剧情与他们之间情恨纠葛惊人相似的戏热门影视剧
备注:已完结
类型:剧情片
主演:陈奕迅 林子祥 曾志伟 林苑 文俊辉 邵音音 张国强 李丽珍 楼南光
导演:郭子健
语言:粤语
年代:未知
简介:自从六岁那年,妈妈从天台一跃而下,林志宏(文俊辉 饰)就再也没有说过一句话。与婆婆相依为命的他生命里从来没有父亲的存在。“爸爸飞去了远方,只要花开爸爸就会回来。”这是妈妈自幼对林志宏说的话。 陈满堆(陈奕迅 饰)的童年经历同样不愉快,如果不是遇上老大(曾志伟 饰)可能早已被打死或者饿死街头。老大给他分配任务,成功后给他生活费用。这次的新任务是把黑帮头子纽乔泽(林子祥 饰)的儿子找出来,于是陈满堆进了学校当校工。 三个人就这样相遇了,陈满堆,林志宏,以及代课老师miss张(林苑 饰),三个各自怀着自己心事、有着自己心病的人,奇迹般地建立起互相信任、单纯直接的感情。直到纽乔泽出现,大家才惊现林志宏就是纽的儿子。 个人都有着自己的使命,亦有着自己的选择电影官方微博
备注:已完结
类型:剧情片
主演:杰西卡·查斯坦 安德鲁·加菲尔德 切莉·琼斯 文森特·多诺费奥 马克·
导演:迈克尔·肖沃特
语言:英语
年代:未知
简介: 该作品改编自2000年同名纪录片,讲述塔米·菲(杰西卡·查斯坦 饰)和吉姆·贝克(安德鲁·加菲尔德 饰)这对夫妇作为电视福音布道家的大起大落。在上世纪70-80年代,塔米·菲和吉姆·贝克从贫寒中奋起,创建了当时世界上最庞大的宗教广播电视网和一个主题公园,他们传递的爱、接纳和繁荣的主题受到人们的尊敬。塔米 · 菲以她夸张的睫毛,独特的歌声、以及她热情拥抱各行各业的人们而成为传奇。不过好景不长,经济上的不当行为、诡计多端的竞争对手以及性丑闻的爆发使得这对夫妇的婚姻破裂,导致他们精心构建起来的帝国开始崩塌改编作品
备注:已完结
类型:欧美综艺
主演:安东尼·鲍代恩
导演:未知
语言:英语
年代:未知
简介: Anthony Bourdain: Parts Unknown is an American travel and food show on CNN. Its premier date was April 14, 2013. In the show, Anthony Bourdain travels to places that are unknown to most people免费播放
备注:已完结
类型:欧美综艺
主演:安东尼·鲍代恩
导演:未知
语言:英语
年代:未知
简介: Anthony Bourdain: Parts Unknown is an American travel and food show on CNN. Its premier date was April 14, 2013. In the show, Anthony Bourdain travels to places that are unknown to most people免费播放
备注:已完结
类型:电影
主演:蒂莫西·利瑞 艾德·艾姆许维勒 Franz Fuenstler 杰克·
导演:乔纳斯·梅卡斯
语言:英语
年代:未知
简介: Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-196小说校对 Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963. « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. » Jonas Mekas « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. » Jonas Mekas, 1972 « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. » P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997 « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. » Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000