备注:已完结
类型:剧情片
导演:濑田夏希
语言:日语
年代:未知
简介: 御园麻由(大政絢 饰)是一个美丽但是性格有些孤僻怪异的女孩,在学校里她绝少和人交流,终日独来独往,行踪神秘。这一日,一名俊秀的男孩找到了她,这个被麻由称作“阿道”(染谷将太 饰)男孩给她带来了无尽的欢喜。在此后的一段日子里,阿道住进麻由的公寓,二人同吃同住,亲密无间,俨然一对未曾经历分秒分离的情侣。偶然的机会,阿道发现麻由的房间内竟然藏着两个全身被捆绑起来的小孩,而他们正是今日新闻热炒的失踪幼童。这一切不可避免地勾起了阿道和麻由所共有的悲伤回忆,他们童年时似乎也曾被人绑架,并遭遇过非人的耻辱虐待,童年的遭遇在各自心中留下难以抚平的伤痕…小说作家见面会 本片根据入間人間的轻小说改编。
备注:已完结
类型:电影
主演:吉里格力·多布金 叶卡婕琳娜·维尔科娃 维克多·维尔比斯基 瓦列里·佐
导演:Dmitriy Kiselev Aleksandr Voytinskiy
语言:俄语
年代:未知
简介: 影片中被称作“黑色闪电”的车是一辆伏尔加(Volga)跑车,是当年苏联GAZ公司的顶级汽车品牌,曾经作为俄罗斯官员御驾。莫斯科大学的学生Dima(吉里格力·多布金 Grigoriy Dobrygin 饰)的梦想就是拥有一辆好车,然后和漂亮的女同学Nastya(叶卡捷琳 娜·维柯娃 Ekaterina Vilkova 饰)约会。生日那天,他收到了父亲的生日礼物—一辆老牌的“Volga21”。偶然的机会下,他发现这是一辆会飞的车子。他的生活从此不再平静,依靠这辆会飞的车子,他赚到了前所未有多的钱。他在拥堵的莫斯科城上空盘旋。但好景不长,灾难从天而降,Dima不得不肩负起重担。从此,莫斯科上空出现了“黑色闪电”,一位随时向市民伸出援手的无所畏惧的英雄.....动画片
备注:已完结
类型:剧情片
主演:瓦妮莎·雷德格雷夫 奥列佛·里德 杜德里·沙顿 麦克斯·艾德里安 杰玛
导演:肯·罗素
语言:英语
年代:未知
简介: 肯·罗素(Ken Russell)根据约翰·惠廷(John Whiting)1961年的RSC戏剧改编,原作为阿道司.赫胥黎(Aldous Huxley)于1952年进行的卢丹冤案的研究。 影片主要内容是发生在17世纪法国,个人自由主义色彩浓厚的乌尔班·格兰迪神父(Ur bain Grandier)顶撞到了天主教枢机黎塞留公爵的权威,从而导致公爵和教会开始共谋如何利用修女被“恶魔”附身这一借口来陷害神父,最终导致悲剧发生。 这部电影虽然有很多大胆惊人的地方,但不妨碍其成为英国电影中独特且具有里程碑意义的影片。奥利弗·里德(Oliver Reed)饰演格兰迪神父和凡妮莎·雷德格雷夫(Vanessa Redgrave)饰演的女修道院院长都表现出色,Derek Jarman设计的片场布景更是令人难忘。 编剧阿尔多斯·赫胥黎为导演肯·罗素这部火花四溅的杰作提供了素材。这部影片描述了在17世纪的法国,修女对主教暗生情愫,这种情绪在修道院中蔓延,整个修道院的修女都赤身迎接主教 ,她们被认为被恶魔附身,但除魔方法匪夷所思。导演罗素称这部影片是他所有作品中“唯一的、而且最政治性 的 影片”,这一对“洗脑”作出清晰刻画并对政教之间的勾结作出描绘的影片被英国电影分级委员会和华纳影业禁放,华纳影业至今仍宣称这部影片强烈不适于公开放映小说粉丝团
备注:已完结
类型:喜剧片
主演:基姆·古铁雷斯 萝西·德·帕尔马 卡洛斯·阿雷塞斯 亚历山德拉·希门内
导演:哈维尔·鲁伊斯·卡尔德拉
语言:其它
年代:未知
简介: 阿道夫(奎姆·古铁雷兹 Quim Gutiérrez 饰)已经30岁了,却还是一介小小的保安,因为职业上丝毫看不到任何的未来,阿道夫本身是一个好逸恶劳的懒鬼,最终,阿道夫的女友选择了离开他。一天,阿道夫受到了刚刚越狱的黑帮老大瓦兹奎兹(卡洛斯·阿雷塞斯 Carlos Areces 饰)的袭击,这场意外的袭击让阿道夫终于知道了父亲阿纳克莱托(伊马诺尔·阿里亚斯 Imanol Arias 饰)隐藏多年的秘密小说分享 原来,阿纳克莱托表面上是一名农场主,实际上曾是将瓦兹奎兹捉拿归案的秘密特工。如今瓦兹奎兹重获自由,他的第一件事情就是要来找阿纳克莱托报仇。为了保命,阿道夫不得不和阿纳克莱托合作,他所要面对的除了穷凶极恶的罪犯外,还有和父亲之间糟糕的亲子关系。
备注:已完结
类型:电影
主演:乔纳斯·梅卡斯 阿道法斯·梅卡斯 Pola Chapelle 肯·雅各
导演:乔纳斯·梅卡斯
语言:英语
年代:未知
简介: Reminiscences of a Journey to Lithuania de Jonas Meka电影节 États-Unis, 1972, 16mm, 82’, coul., vostf musique : Konstantinas Ciurlionis « Cette œuvre est composée de trois parties. La première est faite de films que j’ai tournés avec ma première Bolex à notre arrivée en Amérique, surtout pendant les années 1950 à 1953. Ce sont les images de ma vie, de celle d’Adolfas, de ce à quoi nous ressemblions à l’époque ; des plans d’immigrants à Brooklyn, pique-niquant, dansant, chantant ; les rues de Williamsburg. La seconde partie a été tournée en août 1971, en Lituanie. Presque tout a été filmé à Seminiskiai, mon village natal. On y voit la vieille maison, ma mère (née en 1887), tous mes frères célébrant notre retour, les endroits que nous connaissions, la vie aux champs et autres détails insignifiants. Ce n’est pas une image de la Lituanie actuelle, ce sont les souvenirs d’une "Personne déplacée" retrouvant sa maison pour la première fois après vingt-cinq ans. La troisième partie débute par une parenthèse sur Elmshorn, un faubourg de Hambourg, où nous avons passé un an dans un camp de travaux forcés pendant la guerre. Après avoir fermé la parenthèse, nous nous retrouvons à Vienne avec quelques-uns de mes meilleurs amis, Peter Kubelka, Hermann Nitsch, Annette Michelson, Ken Jacobs. Le film s’achève sur l’incendie du marché aux fruits de Vienne, en août 1971. Le son : je parle, pendant une grande partie du film, de moi-même en tant que "Personne déplacée", mes rapports avec la Maison, la Mémoire, la Culture, les Racines, l’Enfance. Il y aussi quelques chansons lituaniennes chantées par tous les frères Mekas. » Jonas Mekas « Mekas n’a donc pas choisi l’exil. Les circonstances l’y ont contraint. Il y a deux sortes de voyageurs, rappelle-t-il à propos de Reminiscences of a Journey to Lithuania, ceux qui partent de leur plein gré à la rencontre du monde pour chercher fortune ou simplement aller voir ailleurs si l’herbe est "plus verte" et qui, à la manière du Wilhelm Meister de Goethe font de leur voyage un roman d’apprentissage, et puis il y a les autres, les déracinés, ceux qui sont arrachés de force à leur pays comme de la mauvaise herbe et qui semblent condamnés au ressassement de la nostalgie, au travail infini du deuil. » Patrice Rollet, « Les exils de Jonas Mekas », Les Cahiers du cinéma n° 463, janvier 1993